[Validée] Laria O'Gallagher

Nom : O'Gallagher
Prénom : Laria
Âge : 24 ans
Sexe : Féminin
Pouvoir(s) éventuels : Chlorokinésie, cryrurgie et télépathie.
Membre du Talamasca ? : Oui
Agent d'Esylium Corp. ? : Non
Métier : Agent du Talamasca

Physique : Laria est une jeune fille d'un mètre soixante-trois et pèse cinquante-six kilos. Un doux visage elliptique d'un blanc opalin, de grands yeux en amande, aux iris de jade étincelant mouchetés de gris qui surmontent un ravissant nez droit et des lèvres très fines. Le tout est encadré de splendides boucles d'un roux flamboyant. Une fine cicatrice orne sa joue gauche et une autre, discrète, surmonte son sourcil droit, souvenir de son apprentissage à l'escrime. Ses mains ne sont pas celles d'une érudit mais, plutôt celle d'une épéiste hors paire. Elle a deux styles vestimentaires différents. Le premier est le style jeune fille sage et féminine quand elle vit à la maison mère avec beaucoup de vêtements verts qui la mettent en valeur, les cheveux toujours détachée et qui retombent en cascades de feu sur ses épaules. Le second est tout autre, pour les missions sur le terrain, elle porte des vêtements sombres qui lui laissent une grande liberté de mouvement, sa chevelure est nouée en une longue natte qui lui tombe dans le dos afin de dégager son visage.

Caractère : Douce, pétillante de vie et débordante d'énergie, Laria est aussi la plus curieuse des jeunes filles c'est pourquoi elle n'a pas hésité une seule seconde à rejoindre les rangs du Talamasca. Pas une seule fois en cinq ans, elle n'a regretté son choix de rejoindre l'organisation, car leurs nombreuses archives ont assouvi sa soif de connaissance du monde occulte. Connaissances qu'elle a enrichies de l'histoire de sa famille paternelle pour prouver son allégeance à l'ordre.
Toujours franche, elle n'a pas peur de dire ce qui lui passe par la tête, ni ses sentiments même si cela doit blesser certains. Ses actions et réactions sont extrêmement liées à ses émotions, il lui arrive parfois en mission d'agir sans réfléchir. D'une nature généreuse, ceux qui la connaissent savent qu'elle leur apportera son aide avec grand plaisir s'ils en font la demande, toujours prête à partir en mission pour le Talamasca, il lui suffit d'un ordre de départ pour que ses bagages soient prêtes en moins d'un quart d'heure.

Signes particuliers : Laria a toujours autour du cou, une fine chaînette d'argent qui soutient un médaillon de métal identique. Gravé à même l'argent, une couronne de laurier surmontant une rose entremêlée à un croisant de lune, le blason de sa famille paternelle.
Du côté maternelle, elle a héritée à la mort de sa mère, de la rapière familiale du clan de Del Aguila, Esperanza qui signifie espoir en espagnol. Datant du XIVe siècle, la lame longue et effilée de cent-dix centimètres porte les souvenirs des combats passés, mais a su résister aux dégâts du temps. Sa garde en demi-sphère est richement ornée, faite dans un mélange d'or et d'argent.

Pouvoir : *Chlorokinésie : Ce pouvoir lui venant de son père lui permet de contrôler les plantes et autres végétaux. Son pouvoir s'affaibli en hiver, mais devient puissant en été.

*Cryrurgie : Ce pouvoir lui venant de sa mère lui permet de contrôler et créer de la glace, avec ce don, elle arrive à créer des sphères de glace, des plaques de glace et à produire un petit blizzard. A l'inverse de son don de Chlorokinésie, sa Cryrurgie est puissante en hiver et faible en été.

*Télépathie : Ce don lui vient de ces deux parents, bien que faible, il lui permet cependant d'échanger sans problème des paroles mentales avec un autre télépathe.


Biographie : Laria est la fille d'Amalia Del Aguila et de Kilian O'Gallagher, née dans le domaine familiale de son père à Donaghmore en Irlande, lors d'une nuit d'hiver particulièrement glaciale où sa mère décéda d'une hémorragie en lui donnant la vie. Elevée dans une famille de sorciers et instruite dès son plus jeune âge, elle apprit bien vite à contrôler le don des O'Gallagher sous la tutelle de son père. Cependant, comme aucun membre de sa famille maternelle n'était connu de Kilian, elle dut apprendre seule la maîtrise du don des Del Aguila, c'est pour cela que de nos jours, elle ne possède pas la pleine maîtrise de ce pouvoir.

Le jour de son sixième anniversaire, son père lui offrit l'héritage que sa défunte mère lui avait légué. Esperanza était désormais sienne et un maître d'arme arriva trois jours plus tard d'Espagne pour lui enseigner l'art de manier une rapière afin de suivre les dernières volontés d'Amalia. Le temps s'écoula pour elle, l'apprentissage de la magie par son père, les études avec des précepteurs et l'art du combat avec l'Espagnol occupèrent presque tous son emploi du temps.

L'adolescence fut marqué de rébellion, de découvertes hormonales et de passions amoureuses, mais jamais l'amour ne la détourna de ses apprentissages et chacun de ses fiancés cessèrent toutes relations avec elle, car elle ne s'investissait pas suffisamment dans le couple, le travail passait avant tout. Lors de son dix-septième printemps, le maître d'arme quitta le domaine. La raison était simple, il n'avait plus rien à apprendre à Laria sur l'art de l'escrime, car la jeune fille était la plus douée de ses élèves et le maniement de la rapière n'avait plus aucun secret pour elle. Les adieux se firent dans les larmes, car l'Espagnol avait fini par faire partie de la famille, un peu comme un oncle, mais son pays lui manquait et elle l'avait laissé partir non sans lui avoir fait la promesse de venir lui rendre visite.

A sa majorité, elle s'envola pour l'Europe. Douée en langues et avide de connaissances, elle voulait connaître Paris, Amsterdam et autres grandes villes de ce continent. Les capitales s'enchaînèrent rapidement, mois après mois, mais Amsterdam changea sa vie à jamais. Sa joie lui avait fait oublier toute prudence et jamais son esprit n'avait été si ouvert. Les ennuis, elle en avait eu le long de son parcours bien sûr, quelques jeunes sorciers avides de ses pouvoirs, vampires voulant son sang et quelques humains intéressés par son argent, mais aucun n'avaient eu ce qu'il désirait.

Un soir de juin, dans un petit bar d'Amsterdam, on l'aborda. Un homme d'un certain âge, vêtu d'un costume sans veste c'était invité à sa table. Elle l'avait déjà vu, et se souvenait très bien de lui. Paris fut le premier lieu de leur rencontre, Rome le second, à Vienne elle ne l'avait pas croisé, mais à Berlin oui et maintenant il osait venir lui parler, ici à Amsterdam. Il lui tendit sa carte, elle la prit, intriguée. "Talamasca" lut-elle. "Jamais entendu parler" lui répondit-elle avec un sourire. Il lui expliqua le but principal de l'ordre et se présenta. La curiosité de Laria fut piquée à vif, elle lui posa moult questions, en particulier la raison de l'intérêt que le Talamasca lui portait. Il lui répondit que c'était pour ses liens de parenté avec les O'Gallagher et les Del Aguila, que c'était d'anciennes familles de sorciers et que celle d'origine espagnole avait disparue. L'échange dura toute la nuit et ils finirent par se quitter aux aurores.

Deux jours plus tard, elle reprit contact avec Marc. Elle avait beaucoup réfléchi à la décision qu'elle allait prendre. Sa soif de connaissances l'avait emporté, elle voulait faire partie de l'ordre du Talamasca, dévorer leurs archives, s'instruire sur les autres sorciers, les vampires et autres phénomènes paranormaux, peut-être même découvrir des archives sur la famille de sa mère et des descendants.

Cinq ans plus tard, cinq années passées à servir l'ordre, prouvant son allégeance en écrivant un mémoire sur la famille O'Gallagher, sa propre famille. Ses écrits avaient rejoint les archives de la maison mère d'Amsterdam tendit qu'elle s'était envolée pour plusieurs missions sur le terrain dès qu'elle eut la confiance des haut-placés. Aujourd'hui, elle était en route pour Los Angeles, parce qu'elle en avait fait la demande. Parce qu'elle se sentait attirée par cette ville…